Voila la suite
Retrouvailles mouvementée
Une fois le vaisseau posé sur la planète, je vois Anakin et d’autres maître Jedi qui me regarde. Je descends et Anakin me serre dans ses bras en me disant qu’il était inquiet pour moi. Yoda et Mace Windu veulent me voir en privé.
- Incroyable tu es Amras, dit Yoda.
- Merci maître.
- En plus d’avoir libéré le Chancelier, tu as réussi a capturé le Comte Dooku et détruire le vaisseau de Général Grievous, dit Windu.
- Merci maître, répéta Amras.
Amras demanda à Yoda et à Mace d’aller dans un endroit moins public pour leur parler d’une chose de la plus haute importance. Les deux maîtres acquiescèrent sans poser de question. Les trois Jedi se dirigent vers la salle du conseil.
- Qu’à tu donc de si important à nous dire Amras ? demande Mace Windu.
- Pendant que je combattais le Comte Dooku, le Chancelier m’as dit de le tuer.
- Et alors ? C’est normal pour un politicien, il veut garder son poste à tout prix, expliqua Windu.
- Il n’y a pas seulement ça maître, quand Palpatine a dit qu’il fallait que je le tue, j’ai senti le Côté Obscur en lui.
- Sur tu es ? demande un Yoda très inquiet.
- Oui maître, j’en suis sur.
- Nous sommes donc confronté aux pires de nos craintes, dit Mace Windu.
- Le confronté nous devons, dit Yoda.
- Amras, vas chercher les membres du Conseil et va te reposer ensuite, m’ordonna Windu.
- Bien maître.
Amras courut chercher tout les maîtres Jedi qui font parti du Conseil. Une fois la tache accomplie, il se dirigea vers sa chambre pour dormir. Sa nuit fut mouvementée, il rêvait que Palpatine tuait tout les Jedi et qu’Anakin devenait un Seigneur des Sith.
Le matin arrivé, Amras se réveilla en sursaut et couvert de sueurs froides. Il se leva, s’habilla et alla manger un bon déjeuner. Armas chercha Anakin toute la journée mais ne le trouva pas. Il en déduisit qu’il devait être au Conseil des Jedi. Un jeune padawan vint le chercher pour lui dire que le Conseil le réclamait. Prenant tout son temps, Amras arriva quelques minutes pour tard dans la Salle du Conseil des Jedi.
- Bonjours Amras, le salua Kit Fisto
- Bonjour maître.
- Amras, nous avons une autre mission pour toi et Anakin, dit Plo Koon.
- Nous voulons que tu ailles sur Utapau pour stopper le Général Grievous, dit Ki-Adi-Mundi.
- Bien maître, mais juste une question, où sont maître Yoda et maître Windu ?
- Ils sont allés arrêter le Chancelier Palpatine, ils croient qu’il est le Seigneur des Sith que nous recherchions depuis des années, dit Kit Fisto.
- Merci maître, que la Force sois avec vous, termina Amras.
- Que la Force soit avec toi, dirent les membres du Conseil.
Une foi la séance terminée, Amras partit chercher son ami Anakin. Toutefois Anakin était avec le Chancelier. Amras s’en doutât et partit en direction du bureau de Palpatine. Il entendit un combat dans le bureau et vit Yoda et Windu combattre Dark Sidious. Anakin regardais le combat sans bouger. Le Sith assomma Windu en projetant une chaise sur sa nuque. Yoda continua le combat sans se soucier du sort du Jedi.
- Tu es trop vieux Yoda ! cria le Sith
Yoda ne répondit pas à son insulte. Le Sith fit une brusque feinte et envoya le Jedi sur le mur qui perdit conscience. Palpatine regarda les deux Jedi, puis s’enfuit par la fenêtre de son bureau et les Jedi virent un vaisseau partir loin dans l’espace pour se rende on ne sait où. Anakin se précipita sur Windu pour le guérir et Amras sur Yoda.
- Maître ! Vous allez bien ? demanda Anakin.
- Oui ça va Anakin, je suis heureux que tu ne sois pas succombé au Côté Obscur, soupira Mace Windu.
- Et vous maître Yoda ? demanda Amras.
Aucune réponse.
- Il est seulement assommé, il s’en remettra, assura Windu.
Sans perdre de temps, Amras parla de la mission à Anakin et au maître Windu qui dit aux Jedi de partir sur-le-champ. Laissant les deux Jedi seuls dans le bureau, les deux jeunes Jedi partirent en direction des hangars.
- Équipage du Tanis, préparé les moteurs et nos Intercepteur Eta-2, parla Amras dans son communicateur à distance.
- À vos ordres Général Amras, dit le commandant Cody.
Quand les Jedi arrivèrent sur le Tanis, les moteurs étaient assez réchauffés pour pouvoir décoller. Amras dit son plan aux commandants Cody et Bly.
- Nous irons sur la planète seuls, ensuite quand sa feras trente minutes environ, vous irez sur la planète et vous empêcherez toute force ennemies de partir, résuma Amras.
- Comme vous voulez.
- Alors en route, s’écria Anakin.
Le voyage ne dura pas longtemps, seulement vingt minutes. La cinq cent unième légion se préparait au prochain combat. Des centaines de soldats surentraînés, les meilleurs qu’ont puissent trouvés dans toute la galaxie. Amras a fait changer les costumes de ces soldats, avant, les costumes étaient de couleur jaune, maintenant, ils sont de couleurs noirs.
- N’oubliez pas, trente minutes, précisa Amras.
- Aucun problème général, dit le commandant Cody.
Les deux Jedi partirent en direction de la planète Utapau avec les Intercepteur Eta-2. Ils volèrent au-dessus d’une ville Utapauns. Des chars d’assauts blindés tirèrent sur Amras et Anakin. Les Jedi évitèrent habilement leurs tirs. Se servant de leurs canons lasers, les Jedi tirèrent sur les chars d’assauts ennemis. Ils en détruisirent un chacun et il en restait une dizaine…
- Anakin, continue des les détruire par la voie des airs, j’ai un plan, dit Amras.
- D’accord, dit Anakin.
Amras sauta de son Intercepteur Eta-2 qui alla s’écraser contre un char d’assaut. Déployant ses deux lames, Amras fonça détruire les droïds présent sur la plate-forme. Des tirs de blasters dévièrent partout autour de lui. Amras fit un saut arrière pour se retrouver entouré de droïdekas.
Refusant de baisser les bras, il sauta juste à temps car les droïdekas tirèrent sur lui, cependant, les tirs de blasters détruisirent leurs compères. Pendant ce temps, Anakin détruisit trois chars d’assauts, il en restait cinq. Amras se rua sur le premier char aperçu et commença à percer le toit pour détruire les droïds cachés dedans. Toutefois, un autre char tira sur celui sur lequel Amras se trouve. Il évita de justesse le tir. Anakin détruisit le dernier char d’assaut et il atterrit sans plus attendre.
- Bon travail Amras, le remercia Anakin.
- Merci, mais c’est plutôt toi qui a fait tout le travail, ricana Amras.
Aussitôt les Jedi se remirent en route pour retrouver le Général Grievous, leader des forces Séparatiste. Amras se dit que le général avait sûrement entendu le combat. Il commença à courir plus vite et Anakin fit de même. Sentant le danger qui arrivait, les Jedi sortirent leurs sabres. La porte de devant s’ouvrit automatiquement grâce à son capteur de mouvement. Grievous se tenait immobile, devant la porte à les fixer de son regard méprisant.
- Vous croyez m’avoir capturé misérable vermine ? demanda Grievous de sa vois métallique.
Les Jedi ne répondirent pas. Amras et Anakin se mirent d’accord pour combattre Grievous ensemble pour ne pas faire comme contre le Comte Dooku. Anakin a changé de sabres suite au évènement de la bataille de Coruscant, la couleur est maintenant verte, comme Amras. Grievous déploya pas deux, mais bien quatre bras dont chacun avait un sabre, quatre sabres lasers de couleur rouge.
- C’est la fin pour vous Grievous, dit calmement Anakin.
- La fin pour vous plutôt, dit Grievous.
Le combat commença quand Anakin sauta dernière le général Grievous. Même s’il combattait Grievous par derrière, ce dernier combattait comme s’il le regardait. Amras visait les jambes métalliques de Grievous tandis qu’Anakin visait la tête. Grievous donna un coup de pied arrière se qui fit tomber Anakin d’un étage. Amras affrontait maintenant quatre lames mais cela ne le dérangeait pas pour autant. Se servant de la Force, Anakin revint dans le combat. La garde personnelle de Grievous intervint dans le combat mais Amras se servit de la Force pour séparer leur tête de leur corps et propulsa Grievous au plafond. Grievous perdit un sabre, le sabre tombât dans les mains d’Amras.
- Rendez-vous Grievous ! dit Amras d’une voie autoritaire.
- Vous êtes condamné Jedi ! hurla Grievous.
Une légion de droïds arriva sur la passerelle et Grievous en profitant pour fuir vers son vaisseau. Les droïds firent feu sur les Jedi qui les bloquèrent sans problème. Des tirs de blasters bleus passèrent à côté d’Anakin et Amras, les renforts sont arrivés ! Les droïds, surpris par cette soudaine attaque, se firent détruire en moins de dix minutes.
- Commandant Cody, montez au niveau supérieur, ordonna Amras.
- À vos ordres Général Amras.
Le commandant Cody reçu un appel holographique et partit du champ de bataille pour parler avec la personne qui le demandait.
- Allez viens Amras, allons à l’étage supérieur, proposa Anakin.
- Bonne idée.
Mais avant qu’ils sautent, les Jedi entendent le commandant Cody crier derrière eux.
- Jamais je ne le ferai Chancelier ! criai-t-il.
- Que se passe t-il Cody ? demanda Anakin.
- Il se passe que le Chancelier veut lancer l’Ordre soixante-six !
- Sa veut dire quoi ? demanda de nouveau Anakin.
- Il veut que tous les soldats clones éliminent les Jedi restant, dit plus calmement Cody.
- Il faut avertir les autres Jedi qui dirigent des clones ! paniqua Amras
- Et comment veux-tu faire sa ? L’Ordre soixante-six a sûrement été communiqué à toutes les légions en même temps que notre message ! protesta Anakin.
- Il faut au moins essayer, insista Cody.
- Je contacte les maîtres Jedi Plo Koon, Ki-Adi-Mundi et Kit Fisto, dit Amras. Maître Plo Koon ? M’entendez-vous ?
- Oui je t’entends Amras, qui a-t-il ? répondit le maître Jedi.
- Est ce qu’il y a des soldats clones prêt de vous maîtres ?
- Oui et alors ?
- Alors, il faut que vous fuyez au plus vite ! cria Amras.
- Et pourquoi ?
- Faites moi confiance maître !
Ce fut juste car au moment où le Jedi tourna vers son hyperpropulseur séparé, l’ARC-170 derrière lui fit feu. Plo Koon put s’enfuir à temps. Au tours de Ki-Adi-Mundi maintenant. Malheureusement, le maître Jedi combattait et il n’entendait pas l’appel d’Amras. Toutefois, la légion sous son commandement reçu l’appel du Seigneur Sith. Kit Fisto t’en qu’à lui est dans l’eau pour détruire une base sou marine Séparatiste et le signal se brouilla à cause de l’eau et il en fut de même pour sa légion.
- Je n’ai pas réussi à contacter Kit Fisto et Ki-Adi-Mundi ! s’écria Amras.
- Alors il nous faut retourner à Coruscant pour en parler avec les maîtres Yoda et Windu, dit subitement Anakin.
- Commandant Cody, je vous donne le commandant de ma légion juste qu’à mon retour parmi vous, dit Amras.
- Merci de cet honneur mon général.
Et sur se, les Jedi partirent dans un ARC-170 qui ont trois places chacun. Se servant de leur hyperpropulsion, ils s’envolèrent vers la principale planète de la République. Le voyage dura plus longtemps car l’hyperpropulsion des ARC-170 est moins rapide que les Destroyers stellaires Venator. Il ne dura cependant que dix à vingt minutes de plus. Coruscant en vue, Amras envoya son signal de reconnaissance pour ne pas se faire détruire en plein vol. Une fois la permission accordée, l’ARC-170 se posas et les Jedi coururent vers la salle du Conseil. Le Conseil, pourtant, avait une réunion importante sur la planète Kamino, qui allait être attaqué par les Séparatiste. Les Jedi entrèrent en courant dans la salle.
- Mais que signifie…. commença Obi-Wan Kenobi.
- Maîtres ! Palpatine a lancé un ordre au soldat clone ! s’essouffla Anakin.
- Quel ordre ? s’énerva Adi Gallia.
- Les clones doivent se révolter et tuer tout les Jedi, l’informa Amras.
- Malheureusement, nous n’avons pu contacter seulement Plo Koon qui devrait arriver sous peu, dit Anakin.
- Ki-Adi-Mundi a vaincu les clones qui l’ont attaqués, soyez sans crainte pour lui, les rassura maître Windu.
- Problèmes technique nous avons eu avec Kit Fisto, dit maître Yoda.
- Selon vos dires, Palpatine recrute nos soldats clones, soupira Mace Windu, et nous devons rapatrier tous les clones encore fidèle à la République.
- Je rappelle mes clones maître ? demanda Amras.
- Excellente idée Amras, approuva Obi-Wan.
- Rappelé vos clones et attendez leurs arrivés, ordonna Adi Gallia.
- Bien maître, dirent Anakin et Amras.
Les Jedi s’inclinèrent et quittèrent la salle du Conseil des Jedi pour faire la demande de leurs maîtres. La République, est encore une fois, sur le bord du gouffre.